C'est la marque que j'ai créé pour donner de la visibilité à mon activité de conseil.
En France, dans le vaste monde des initiatives et organisations engagées sur le plan social voire sociétal, plusieurs écueils peuvent entraver l’épanouissement des projets, des équipes et des populations accompagnées.
Ce qui suit ne concerne que les organisations de droit privé à but non lucratif (ou à lucrativité limitée), et en aucun cas les organisations relevant du droit public ou des services publics. Par ailleurs, ce que j'expose est le fruit de mon analyse basée sur une quinzaine d’années d’expériences professionnelles dans le monde associatif. Ce monde associatif étant aussi pluriel et diversifié que le monde de l’entreprise, je n’ai pas la prétention d’avoir tout vu ni tout compris. Comme toutes les expériences, les miennes sont parcellaires et partielles.
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Ces écueils peuvent expliquer un certain nombre de problèmes qu’Engagilité Conseil vous propose de contribuer à résoudre.
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Au regard de la complexité des situations dans lesquelles se trouvent nombre d'organisations engagées, aucune solution miracle n'existe.
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Toutefois, il est possible de tracer des chemins pour ouvrir de nouveaux horizons et créer des marges de manœuvre.
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C'est une question de regard sur la situation.
La façon de "positionner" son projet, toute une histoire...
Quand on aspire à "transformer" la société – à une échelle très locale ou à une échelle plus grande - en s’attaquant à un besoin social ou à une aspiration sociale, on tente de passer d’une situation réelle inscrite dans le présent à une situation "visée" pour le futur.
Simple a priori ?
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Justement, pas du tout !
Comment passer de ce qui est, à ce qui devrait être, à ce qu'il est possible de faire ?
Si vous avez déjà participé activement à une initiative à vocation sociale ou sociétale, vous savez que toute la question est là...
Si vous n'avez pas encore participé à ce type de projet, il est possible que la suite soit un peu ardue. Si c'est votre cas, je vous incite à aller faire un tour du côté de la société civile...
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Le 1er écueil que j’ai pu constater porte sur la façon dont des équipes dirigeantes pensent, élaborent ou "positionnent" leur projet.
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Plusieurs cas de figure...
Soit les dirigeants cherchent à atteindre des buts et à réaliser des valeurs communes qui caractérisent "ce qui devrait être" selon eux.
Ici, les dirigeants ont la conviction qu'ils peuvent résoudre une problématique sociale dans son intégralité. Ils se chargent ainsi d’une responsabilité immense et qui les dépasse. |
Un projet centré sur ce qui devrait être
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Soit les dirigeants cherchent à réaliser "ce qu'il est possible de faire" aujourd'hui.
Ici les dirigeants ont la conviction que leur projet et leur action n’ont pas vocation à résoudre une problématique sociale. Ils se chargent ainsi d’une responsabilité limitée qui annule toute possibilité de transformation. |
Un projet centré sur ce qu'il est possible de faire
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Les 2ème et 3ème écueils découlent directement du 1er.
Quand on fonde son action sur "ce qui devrait être", par définition, on est dans une logique résolument idéaliste. Souvent, on donne "tout". Dans ce cas, le 2ème écueil que j’ai pu constater porte sur l’absence de "limite" ou de périmètre de l’action. En effet, puisque l’équipe va chercher à réaliser un "absolu", elle va de fait déployer tous les moyens nécessaires pour y parvenir.
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Une action sans limite
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Quand on fonde son action sur "ce qu’il est possible de faire", par définition, on est dans une logique résolument réaliste. Souvent, on renonce d’emblée à transformer. Dans ce cas, le 3ème écueil que j’ai pu constater porte sur l’absence d’impact ou d’effet réel sur la problématique ou la situation sociale qu’il était initialement ou historiquement question de résoudre. En effet, puisque l’équipe va se "couler" dans ce qu'il est possible de faire au moment présent, elle va de fait déplacer son objet social vers la gestion de services. La gestion ici ne va plus être un moyen, mais une fin.
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Un renoncement à la transformation sociale
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Mon positionnement face à ces problèmes
Pour contribuer à résoudre les problèmes évoqués :
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Engagilité Conseil propose une approche basée sur 3 partis pris :
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Préciser ce que vous voulez transformer ou "changer"
Chaque initiative ou organisation de droit privé non lucratif (ou à lucrativité limitée) sera invitée par mes soins à apporter une attention particulière à ce qu’elle peut faire à la lumière de trois dimensions qu’il lui revient de construire (seule ou accompagnée) :
Sa vision de "ce qui est"
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En langage technique
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Sa vision de "ce qui devrait être"
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En langage technique
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Sa vision de "ce qui pèse"
Focus sur le plaidoyer
Les acteurs les plus engagés ont créé une fonction de "lobbying citoyen" - en langage technique le plaidoyer - qui consiste à aller convaincre les décideurs politiques, économiques et sociaux de la nécessité de "changer la donne" en adaptant les "règles du jeu" pour se rapprocher de l'intérêt général sur leur mission, vocation ou objet social. |
En langage technique
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Tout ça pour quoi ?
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Poser des limites à votre action
Chaque initiative ou organisation de droit privé non lucratif (ou à lucrativité limitée) sera invitée par mes soins à délimiter son périmètre d’action c’est-à-dire à limiter "volontairement" le nombre de services qu’elle va "rendre" d’une part, et à quantifier son volume d’activités d’autre part.
Pour se faire, a priori, un accompagnement s’impose.
Tout ça pour quoi ?
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Mettre la gestion au service de votre vocation
Chaque initiative ou organisation de droit privé non lucratif (ou à lucrativité limitée) sera invitée par mes soins à se doter de techniques de gestion au service de sa mission sociale.
Si la gestion devient le but de l’organisation, alors la raison d’être historique centrée sur la résolution d’une problématique sociale ou sociétale est dissoute. Ceci étant posé, toute organisation de droit privé à but non lucratif (ou à lucrativité limitée) a besoin d’inscrire son action dans le temps, dans la durée. Y parvenir consiste à trouver un équilibre sur le plan organisationnel et sur le plan économique, les deux dimensions étant les deux faces d'une pièce. C'est cette spécificité qui fait de vos organisations engagées les plus difficiles à piloter, à diriger et à "manager".
Tout ça pour quoi ?
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